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    Némésis
    Némésis
    Messages : 2
    crédits : 38

    Info personnage
    Race:
    Vocation:
    Alignement:
    Rang:
    qui suis-je ?:
  • Mar 16 Avr - 22:09
    Colombine Frey
    Race : Humaine
    Sexe : Féminin
    Âge : 30 ans
    Métier : Officiellement, couturière et fashionista.
    Taille & poids : 1m88 pour 78 kilos.
    Alignement : Chaotique neutre
    Faction : République.
    Rang : Rang C ou B ?
    Religion : Athée.
    Avatar : Mei mei / Jujutsu Kaisen.

    Pouvoirs et objets

    Vocation  -> Combattante Guerrière.

    Force Surhumaine -> Palier 3 (2000 crédits).
    Vue augmentée -> Palier 1 (300 crédits).
    Communication avec les animaux -> 500 crédits.
    Nyctalopie -> 300 crédits.

    => 3100 crédits.

    Une lourde hache de guerre, qu'elle semble être la seule à savoir manier correctement. Des aiguilles, du fil, des ciseaux de couturière.

    Description physique et mentale

    Habillée de noir, elle brille néanmoins par ses coupes extravagantes et ses habits à la pointe de la mode. Pareille à un diamant brut que l'on aurait taillé pour qu'il fasse détourner les regards de ceux qui la croise, Némésis est une œuvre d'art dont peu d'hommes (et parfois de femmes) sont indifférents au ramage, ni au plumage. Madame a des formes généreuses, une taille assez fine pour être attrapée par certains êtres qui retiendraient sont attention et son affection. Longue jambe dont on ne voit plus la fin, j'en passe des meilleurs, pour ne pas vous assommer. On aurait pu en faire un mannequin, mais ce n'est pas de ce côté de l'aiguille que se trouve le corbeau. Elle préfère créer ses propres tenues, possédant des boutiques sur les avenues les plus courues de la république. Elle ne lésine sur aucun moyen pour arriver à ses fins, et à ses faims également. Dame de qualité, elle est hautaine, volubile, changeante, avenante quand il le faut, atypique, indifférente à ce que l’on pense d’elle, hermétique, complètement dingue de son deuxième métier, et même du premier… Dingue, oui, elle n’a pas froid aux yeux, est-ce la définition de folie ? Peut être que selon certains, ses activités sous marines ne sont plus de son âge, ni de son rang. Seulement, pour rien au monde, Némésis ne changerait d’occupation, ni de vie.

    Elle est pleinement satisfaite d’elle-même, ce qui donne quelqu’un d’assez narcissique pour rembarrer et rendre la monnaie de sa pièce à ses détracteurs, ou aux paiements des autres oiseaux de la basse cour. Cela donne aussi du grain à moudre pour les plus hardis de ses ennemis naturels, ou de ses concurrents directs.

    Toujours accompagnée d’une nuée de corbeau, elle est aussi redoutable que belle, aussi meurtrière que couturière. Elle possède des ciseaux de toutes tailles, et des aiguilles, toujours sur elle, au cas ou il faille justifier de son métier premier, ou bien repriser une tenue en expresse. Toujours prête, toujours vaillante, jamais vraiment perdante, car elle considère l’échec comme une expérience à vivre, et une expérience ne peut être néfaste, n’est-ce pas ? Athée dans le plus profond de son cœur, elle considère les titans comme une race malveillante qui a su tirer parti des croyances des uns et des autres, et considère la fin de leur règne et de leur ère, comme une bouffée d’oxygène pour toutes les races du monde connu.

    Sexy, envoutante, alambiquée … Des adjectifs qui lui collent à la peau, comme les jupes qu’elle porte. Barbare comme la hache qu’elle cache soigneusement dans ses affaires, quand le contrat juteux devient peu légal, ou en tout cas, mortel.

    Car si elle est une fashionista, elle est également à la tête d’un groupe de tueur à gage, et mercenaires pour la pègre et autres bizness illégaux. Et c’est cette activité qu’elle cache derrière des voiles, des tulles ou de la dentelle.  



    Histoire ou test-rp



    Partie I : Les rêves brisés.

    C’est l’histoire d’un corbeau, qui tenait dans son bec un fromage …  Pas vraiment. L’histoire de Némésis commence il y’a trente ans, dans les campagnes sordides et pittoresques de la République. Ces parents, dont l’un d’eux était un noble déchu de la République, le père pour être exact, vivaient dans un vignoble ou l’on produisait un vin fin et fruité, fort courus à la capitale. Ils avaient déjà deux enfants quand la petite dernière vint au monde. Colombine, de son véritable patronyme oublié dans les collines et les forêts de la république quand elle fut plus grande, était un enfant turbulent. Elle n’arrêtait pas de casser les verres et les assiettes, sans qu’on ne sache comment, pour un bambin, sans les briser sur le sol. Elle semblait déjà avoir cette force titanesque, qui la caractérise officieusement, en tant que « Maître Corbeau », la tête pensante d’un groupe criminel bien connu de la pègre.

    Quand elle fut en âge, on commença à lui inculquer les bonnes manières pour une dame, ainsi que les us et coutumes de son pays. Elle apprendra vite, et bien que ce soit étonnant pour une femme aussi brutale, s’adoucit au contact de sa gouvernante et de sa mère. Bien vite, elle demanda néanmoins à être introduite aux arts de la gestion d’une entreprise comme celle de ses parents, mais aussi sur tout un tas de sujets que l’on trouverait futile pour une fille de quinze ans. Pourtant, on l’introduisit aux arts subtiles de la vente, sentant un réel intérêt chez la jeune fille, pas comme ses deux frères qui passaient leur temps à ripailler, et à se battre. Pourtant, elle aurait pu devenir bagarreuse, ou bien encore terrible mais son nom, descendant de la douce colombe, semblait faire régner la paix dans son cœur.

    Il fut bien vite admis qu’elle serait la prochaine à hérité de la société familiale, n’en déplaise sa fratrie, à qui elle faisait plus peur qu’une troupe de bandits. Oh, ils avaient bien sûr essayé de lui faire peur, de la secouer, de lui faire vivre un enfer. Les enfants et les frères sont forts pour ça, surtout d’aussi insupportables humains qu’Ambroise et Bjorn… Mais quand ils se heurtèrent à elle, ils perdirent souvent … des chicots, de la crédibilité et de la dignité, ou se cassaient mystérieusement un os. Bien sûr, rien de tout cela ne remontait aux oreilles de leurs parents, qui ne se doutaient pas de la nature brute et forte de leur fille. Elle était polie, bien sage, avisée et vraiment charmante… Elle l’est encore, remarquez.

    Toutefois, les fréquentations assez lugubres des deux roquets attirèrent des ennuis à toute la famille, fréquentations qui voyaient d’un mauvais œil le fait que leurs petits protégés, n’atterrissaient pas à la tête de la société un jour. Ils auraient alors eu de quoi blanchir de l’argent, et avec des garçons de paille comme les deux Frey, pourraient même s’enrichir sur les côtes de toute la famille, s’ils restaient patients.

    Seulement voilà, les parents Frey n’étaient pas facilement impressionnables ni franchement impressionnés par la pègre locale. Des bouseux qui profitaient d’un climat de terreur et d’un manque cruel de fantassin et de gardes locaux, pour foutre la zizanie, sans plus. Ils n’avaient pas l’envergure pour mettre la pression sur le père, et la mère se riaient d’eux. Colombine, elle, restait méfiante et sacrément embêtée. C’était son héritage dont l’on parlait.

    Elle prévint ses frères, s’il arrivait quoi que ce soit à la propriété ou aux parents, ils allaient « manger cher dans vos gueule de merde » … Pas vraiment une jeune demoiselle bien éduqué en cet instant, elle se rendit chez le forgeron de ses parents, et ce fut ce jour là qu’elle commanda une immense hache de guerre, à un seul tranchant, qu’elle voulut d’un seul tenant, dans un seul bout d’acier … Une arme qui mettrait quelques mois à être construite, mais comme l’artisans était un des amis des intime des parents, datant de l’époque faste ou ils étaient bien vus en ville, il saurait contenter la soif d’acier de la jeune femme … Plus tard.

    En attendant, elle continuait à suivre son père pour apprendre le métier, mais ce n’était plus pareil, elle sentait que quelque chose de mauvais se tramait. Elle avait toujours eu le don pour savoir quand sa sentait le roussis. Et comme chaque mois, on venait geindre et menacer son père, que bientôt il lui arriverait malheur s’il ne donnait pas une obole conséquente pour sa protection à la pègre, elle voyait arriver les problèmes, gros comme une maison. Même s’ils avaient des serviteurs prêt à perdre la vie pour défendre les intérêts de ceux qui étaient devenus simple bourgeois, elle prit sur elle d’aller demander à l’épée louée de son père, de lui apprendre quelques astuces « au cas ou » … Voyant la détermination dans le regard de la jeune fille, et la posture déjà tendue, il accepta derechef sans poser de questions.

    Peut être que cela la tranquilliserait. Au pire, cela pourrait lui servir. Armory de Gonze, un patronyme inventé par le mercenaire pour tromper l’ennemi sur sa véritable identité, était le seul à dater de l’époque noble de son père, et surtout, le seul homme d’épée dont c’était le métier premier. Elle commença donc son apprentissage par l’épée, attendant le moment ou sa hache serait prête pour briller, et pour en apprendre plus sur les armes d’hast.

    C’était comme une des nombreuses danses que l’on avait fourré dans son crâne lors de son éducation plus « classique » de dame bourgeoise, capable d’aller satisfaire les désirs de la noblesse, et d’appâter ses représentants les plus difficiles. Elle était habile, agile et surtout, d’une force surpassant la moyenne. Armory le découvrit comme les autres, à son dépends. Seulement, sa technique, son étrange agilité hors du commun et des réflexes surhumains lui permettaient souvent de gagner leurs passes d’armes. Elle devait abdiquer, s’incliner, souvent pris à défaut sur sa position, sa garde ou sur ses mouvements trop lents, trop larges ou trop prévisibles.

    Bref, elle avait beaucoup à faire pour être prête. Seulement parfois, la vie vous jette dans le grand bain sans que vous ne le soyez jamais vraiment.

    Forcément, à force de repousser les avances des petites mains, on attire irrémédiablement les plus méchants à venir chercher ce qu’ils veulent. Forcément, l’escalade se fait rapidement, comme si l’échelle de puissance se devait de grandir pour impressionner les parents de Colombine. Pourtant, ils ne demandaient pas grand-chose …

    - On veut dix pour cent de ce que tu gagne, et que Ambroise soit le prochain sur la liste, c’est pas compliqué, si ? Tu es gagnant, alors que refuser serait …

    - Refuser serait quoi ?

    - Idiot, très idiot.

    - Tu peux rentrer chez toi, et aller dire à ton patron que jamais je ne céderais à vos avances, vos coups fourrés, ni vos menaces ! Les Frey ne cèderont pas.


    C’était une question de principe.

    Partie II : Se brûler les ailes.

    La nuit noire, ciel dégagé plein d’étoiles léchées d’un voile blanchâtre. La nuit, myriades d’idées sombres naissaient dans l’esprit des êtres qui peuplaient notre univers. Cette nuit était une nuit ou la lune, pleine, exerçait une force d'attraction particulière sur les gens et les animaux.... Et parfois derrière certains, se cachaient la bête. Des loups hurlèrent dans la nuit. On entendait toutes sortes de bruits, comme une longue mélopée que faisait la lande et les collines environnantes, donnant cet impression que rien ne dormait vraiment à n'importe quelle heure, sur le domaine des Frey. Néanmoins, ce soir là, on entendit de grands fracas, et ce fut l'odeur de fumée qui réveilla Colombine, ses deux frères absents comme de par hasards, sans doute entrain de faire les lèches bottes ou de commettre leur frasques habituelles. Elle fut complétement réveillée par la vois d'Armory, qui ouvrit la porte tandis qu'on entendait des gens crier, et des cliquetis caractéristiques d'armes s'entrechoquant depuis les étages inférieur.

    - Gamine ... Gamine ! Réveille toi, c'est l'enfer en bas, on nous attaque ...
    - Sérieux ?! Et t'es pas entrain d'aider les autres, t'es le seul qui sait se battre bon sang !
    - J'aurais préféré défendre la propriété, mais ton père m'a dit de te faire évacuer en premier lieu, tu es le futur de la maison qu'il a dit ... Dépêche, prend rien et suis moi !


    Elle suivit son ange gardien dans le dédales de couloirs, tandis qu'elle entendait le manoir grincer de partout, et cette odeur de brulée la poursuivre jusque dans les tréfonds de la propriété. Ils passèrent sous une arche, tournèrent à n'en plus finir dans un petit escaliers de service connu seulement des bonnes et de quelques serviteurs, et lorsqu'il arrivèrent dans le sous sol, la jeune femme se demandant si c'était vraiment la bonne direction, il poussa une bouteille de la cave à vin personnelle du père, et une porte s'ouvrit comme par enchantement.

    - Allez allez, on file comme le vent, gamine ! On doit sortir d'ici vivants, sinon tout ça n'aura servit à rien ... .
    - Armory, Armory, mais qu'est-ce qu'il se passe ...? Dis moi pourquoi on doit faufiler comme des souris, partir comme des voleurs de ma propre maison ?
    Il la poussa dans l'embouchure, referma la porte, et avec son briquet d'amadou, alluma une chandelle et devant l'air courroucé de Colombine, s'expliqua ...

    - Ecoute, c'est la pègre, ils ont décidés d'envoyer un message aux gens ... Aux gens comme ton père, qui paye pas de cotisations de protection ... Et je pense que tu devines la suite, petite colombine ... ?

    Les yeux pleins de larme, elle suivit docilement son mentor, comme abattue par un coup de massue. Abasourdie, en hyperventilation, elle se contenta de blanchir plus qu'elle ne l'était déjà ... Elle n'était encore qu'une grande enfant, dix huit ans a peine révolus, elle ne savait pas gérer ce genre de crise, ni de situations si ... graves.

    Et dans la nuit, tandis qu'il fuyait dans les collines après le passage souterrain, tandis qu'elle voyait sa maison et ses parents, ses gens, ses vignes et son héritage partir en fumée... Elle décida d'abandonner son nom, et ses idées préconçues.  Elle allait devenir autre chose. Rendre la monnaie de leur pièces à tout les responsables.

    - Armory ... Il faut que tu m'apprenne une dernière chose ... Fit-elle en s'arrêtant subitement.
    - Oui oui tout ce que tu veux, mais avance s'il te plait ....
    - Apprends moi à me venger de tout ses salopards, promet moi que tu m'apprendras .... Cette fois c'est lui qui s'arrêta et la regarda dans les yeux...
    - Si tu le veux vraiment après cette nuit, on ira voir Le Maestrio, et il te donnera les moyens, si c'est vraiment ça que tu veux ...

    Partie III : Tapie dans l'ombre.


    Le maestrio, un nom énigmatique. Et pourtant, c'est entre ses mains que le Gonze cherchait à la placer. Apparemment, il ne pouvait pas lui apprendre autre chose que l'art de l'escrime, et il jugeait que "tout ce que tu dois savoir, lui seul peut te l'enseigner"... La vengeance comme occupation à temps plein, voilà comment elle avait exprimé son souhait. Elle passerait le reste de sa vie à poursuivre ceux qui l'avaient chassé de sa demeure, ferait payer chaque pied de vignes écrasé, chaque murs et chaque serviteurs vandalisés par la pègre. Le Maestrio, si c'était son nom, était un voleur de haute voltige, un tueur de sang froid, un caméléon capable de s'infiltrer par chaque intersites, de forcer toutes les portes qui le séparerait de son butin ou de sa cible. Il était une ombre sur le tableau, un ennemis commun de beaucoup de gouvernement. Une ombre n'a pas de véritable nom, ni de véritable apparence. La peur en prend pas de visage, elle est juste présente dans le coeur des ennemis de cette entité ayant dépassé le stade l'humanité ou de toute autre mot que vous voudrez bien placé la pour qualifier le vivant. Elle ne vit jamais son visage, n'entendit jamais sa voix, sinon déformée par les murs gris de sa demeure souterraine, tout proche d'un carrefour vibrant de vie, sous une auberge au nom énigmatique. Le cercle d'or, était le genre d'endroit ou il faisait bon de s'arrêter, quand on était mercenaire. Le propriétaire des lieux, un homme de notoriété et de bonne foie, possédait un réseau d'informateurs bien garnie, et des relations à ne plus savoir qu'en faire. Alors il partageait sa dîmes et ses infos contre mauvais coeur bonne fortune.

    Personne ne connaissait son visage, car sa maladie, un semblant de goutte et quelques excès de paranoïa le gardait enfermé dans une des ailes de l'auberge, sous bonne garde, toujours alité. Peu savaient qui était la véritable identité de Caesar Diggory, si ce n'était qu'il avait le bras long. Peu savaient ce qui se passaient dans l'ombre et les entrailles du cercle. Armory savait. Armory semblait même connaître assez bien l'homme pour demander audience auprès de lui.

    Il faillit s'attirer les foudres du personnel de sécurité, avant qu'on ne reconnaisse son blason, une pie semble rire aux éclats, et sa vieille habitude de faire sortir des lames d'un peu partout de sa cuirasse en cuir. Un homme qu'elle respectait, lui montrait sa face cachée. Elle ne savait plus ou donner de la tête, tant les regards des hommes présents semblaient insistants. Elle ne savait plus à quel saint se vouer, et n'aspirait qu'à une seule chose, une seule douloureuse chose, une brûlante et enivrante idée : Faire souffrir les responsables, comme ses gens et sa famille avaient souffert. Il n'était plus question d'héritage ou de problèmes de successions, mais bien de rayer de la carte certaines existences qui la rendait malade. Toute sa bonté, tous ses rêves, toutes ses idées d'avant,, détruit. Il ne restait plus qu'une amphore pleine d'haine, et de quoi apprendre à la contenter.






    Partie IV : La naissance de Némésis.

    Partie V : Le corbeau moqueur.





    Groupes d'intérêts

    Indiquez ici les différents groupes d'intérêt de votre personnage et décrivez  en quelques lignes sa vision, ses actions, sa position et son appartenance vis-à-vis de ces groupes.

    Les groupes d'intérêt ne sont pas obligatoires.

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